Est-ce bien le Chevalier Sage, par cette nuit éclairée d’un rayon de lune, qui se soumet, solitaire, à un rituel sanglant et douloureux ? Est-ce bien lui qui, sous la pluie battante qui s’est soudain déchainée, voit surgir de sa propre paume un rayon destructeur auquel rien ni personne ne semble capable de résister ? Et est-ce vraiment lui qui, regagnant secrètement l’aile des Chevaliers au château d’Emeraude, se réjouit d’un air sardonique d’avoir enfin recouvré tous ses pouvoirs… ?







