Le 7 octobre 1993, j’écrivais une lette à Monsieur Jean-Jacques Anglade qui était à l’époque Maire de la ville de Vitrolles. « Monsieur le Maire, Voici donc La Mort du Peintre. Sa réalisation fut pour moi un moment intense. Et c’est grâce à vous, aux femmes et aux hommes à qui vous avez fait confiance que ce livre existe. Vitrolles est représentative de beaucoup d’autres villes nouvelles en France, et sûrement en Europe. Représentative des difficultés inhérentes à la jeunesse d’une ville, difficultés aggravées aujourd’hui par le contexte économique et social. Ce livre maintenant vous appartien. Il vous appartient de l’utiliser comme vous l’entendrez.







